La Sée est fréquentée par des poissons migrateurs (saumon atlantique, anguille européenne, lamproie marine) dont les populations et les habitats sont fragiles. Ce patrimoine emblématique doit assurément faire l’objet d’une protection, et d’une mise en lumière.

Il est également nécessaire de prendre en compte l’ensemble de la biodiversité présente sur le bassin versant, et en particulier les espèces fréquentant les milieux humides et/ou bocagers, qui sont en lien avec le futur SAGE. 

Par ailleurs les milieux naturels nous rendent bien des services, pour peu qu’ils soient fonctionnels : les zones humides jouent un rôle d’éponge et régulent les flux d’eau, les cours d’eau épurent une partie de nos pollutions et nous alimentent en eau potable, les prairies et les haies stockent du carbone et contribuent à atténuer le réchauffement climatique, les arbres régulent la température ambiante, sans parler du plaisir de se promener dans les espaces naturels ouverts au public…

La biodiversité inféodée aux milieux aquatiques et humides, souvent peu connue, fréquente de nombreux espaces agricoles, bocagers, forestiers, littoraux et même urbains. C’est en lien avec les activités existantes sur le territoire que sa préservation doit être envisagée.

Pour arriver à répondre à cette ambition, la CLE propose notamment de :